Charles-Rafaël Payeur


CHARLES-RAFAËL PAYEUR

 (1962-)


Charles-Rafaël Payeur est né le 31 octobre 1962, à Thetford Mines, un petit village minier de la province de Québec, au Canada. Après ses études primaires, il a complété des études secondaires au Séminaire de la Très Sainte Trinité, à St-Bruno (Canada), de 1975 à 1980, avant de poursuivre ses études en sciences de la santé, un cours préparatoire aux études de médecine, au CEGEP de Sherbrooke, de 1980 à 1982. Il est ensuite entré à l’Université de Sherbrooke pour y faire des études de philosophie et de théologie, de 1982 à 1987.

 

Parallèlement à son cursus scolaire, Charles-Rafaël Payeur chercha très tôt des réponses aux grandes questions existentielles qui l’habitaient. Sans pouvoir encore le formuler clairement, il était également à la recherche d’une démarche de développement psychologique et spirituel, ce qu’il ne trouva pas dans les enseignements relativement pauvres de la paroisse catholique romaine que sa famille fréquentait assidûment. C’est pour ces raisons qu’il entreprit des recherches dans diverses écoles initiatiques. Cette quête lui apporta, du moins momentanément, des réponses aux grandes questions qu’il se posait. Parmi ces organisations, il s’engagea tout d’abord au sein de la Fraternité Rosicrucienne, fondée par le théosophe Max Heindel.

 

 

Max Heindel (Carl Louis von Grasshoff), 1865-1919


En effet, dès l’âge de quinze ans, il mit la main sur un exemplaire de la Cosmogonie des Rose-Croix, à la bibliothèque municipale de la ville qu’il habitait. À compter de ce jour, et bien que ses parents s’y opposèrent vivement, il suivit passionnément tous les cours offerts par la Fraternité Rosicrucienne (philosophie des Rose-Croix, astrologie et interprétation ésotérique de la Bible). À la même époque, il s’engagea auprès de la Société Théosophique, qu’il fréquenta à Montréal, et dans laquelle il fut admis comme membre par le siège international d’Adyar, en Indes.

 

À l’âge de dix-huit ans, dans la poursuite de ce qu’il avait entrepris trois ans auparavant, il prit les engagements de « candidat » au sein de la Fraternité Rosicrucienne, des engagements qui impliquaient notamment d’être végétarien, de ne pas consommer d’alcool et de ne pas fumer. La même année, il devint président du groupe d’étude de cette même organisation, à Sherbrooke. Il était alors entouré d’une équipe de personnes engagées et sincères qu’il n’oublia jamais. Trois ans plus tard, il obtint, pour ce groupe, le statut de Centre reconnu, un statut octroyé par le siège mondial d’Oceanside, en Californie (USA). Jusqu’en 1985, il a œuvré comme responsable et conférencier international de cet organisme. C’est au cours de cette période qu’il a pu approfondir les enseignements de la théosophie et du gnosticisme, des doctrines qu’il enseigna avec beaucoup de passion à travers des centaines de conférences qu’il présenta sur une multitude de sujets, et dans une cinquantaine d'ouvrages spécialisés qu’il rédigea tout au cours de ces années.

 

Pour Charles-Rafaël Payeur, ce fut une époque extrêmement riche d’enseignements et de rencontres, mais il prît ensuite une grande distance par rapport aux doctrines théosophiques de Max Heindel. Ceci étant précisé, les enseignements de la théosophie, au sujet des corps subtils et des mondes invisibles, pour ne citer que ceux-là, demeurèrent pour lui une référence utile et solide, bien qu’il ressentît très tôt la nécessité de les confronter aux doctrines originales de l’hindouisme dont ils ont été plus ou moins maladroitement tirés, et au développement contemporain du savoir scientifique. C’est toujours d’ailleurs un travail qu’il poursuit, notamment en ce qui concerne la doctrine de la réincarnation.

 

À ce parcours s’ajoute une rencontre décisive, toujours à la même époque, avec des représentants des Premières Nations. Charles-Rafaël Payeur découvrit effectivement chez les Amérindiens une dimension sacrée qui a bouleversé sa vie. En effet, une rencontre avec des aînés amérindiens lui a permis d’être initié à des pratiques rituelles qui l’ont conduit, pour la première fois, à ressentir vraiment ce que pouvait représenter une expérience spirituelle. La richesse de ces enseignements réside d’abord dans une quête d’unité entre le corps et l’esprit, et dans une communion plus étroite avec la nature et l’univers entier : « toutes nos relations ». Il y pratiqua de nombreux rituels, dont la salutation aux points cardinaux, la roue de médecine, la tente de sudation, la quête de vision ou la cérémonie de la pipe. Il fut même autorisé, quelques années plus tard, à les pratiquer en tant que « meneur de hutte » et « porteur de la pipe sacrée ».

 

 

Hutte de sudation chez les Innus de Maliotenam


Après de très nombreuses années de pratiques amérindiennes, il a découvert avec étonnement que la sagesse qu’il admirait tant chez son grand-père paternel (également son parrain), était liée en partie à certains aînés abénaquis que son aïeul avait fréquentés, et avec qui il avait pratiqué des rites sacrés, dont la cérémonie de la pipe. En l’honneur de cet héritage, Charles-Rafaël Payeur poursuit toujours ces pratiques et reçoit, tous les deux ans, quelques personnes sensibles à cet univers, afin de les initier aux rites de la tente de sudation, de la pipe sacrée et de la quête de vision. Il leur propose alors de redécouvrir le sens du sacré, grâce à un travail de reconnexion du corps et de la dimension spirituelle. Il est d’ailleurs persuadé que la culture judéo-chrétienne a trop longtemps rejeté le corps, alors que toute démarche spirituelle authentique vise à incarner l’esprit dans le corps, et non à le fuir.

 

Toujours au début des années 1980, Charles-Rafaël Payeur a également conçu, réalisé et animé une série d'émissions télévisées, sur la chaîne communautaire de Vidéotron, à Sherbrooke (Canada). Il s’agissait d’un talk show hebdomadaire intitulé « Échos de l’au-delà ». Originellement prévue pour une saison de treize émissions, cette activité dura plus de dix ans, de 1980 à 1990. Le plus souvent seul à l’antenne, pour partager le fruit de ses recherches, il reçut au cours de ces années les plus grands noms dans le domaine de la spiritualité et de la pop psychologie. Ainsi, il a animé plus de cinq cents émissions de radio et de télévision, et il a présenté près de mille conférences dans divers pays francophones.

 

Ceci étant, alors qu’il était toujours étudiant à l’Université de Sherbrooke, Charles-Rafaël Payeur se rendit en Europe, du 19 avril au 19 mai 1985, afin d’y présenter un premier cycle de conférences à l’étranger. C’est au cours de ce périple d’un mois, qui le conduisit en France, en Allemagne, en Italie, en Suisse et en Belgique, qu’il rencontra un homme qui allait changer sa vie. Il avait effectivement rendez-vous à Bruxelles (Belgique) avec un certain Armand Toussaint qui avait été le principal organisateur du mouvement rosicrucien en Belgique. Ce dernier était encore très impliqué dans les milieux ésotériques européens, et cela, depuis plus de soixante-dix ans. Charles-Rafaël Payeur devait le rencontrer pour faire une entrevue à publier dans un périodique consacré à l’ésotérisme.

 

À cette époque, Armand Toussaint consacrait tous ses après-midi à recevoir des gens qu’il formait ou qu’il soutenait dans des épreuves difficiles. Il eut ainsi un impact majeur auprès de nombreuses personnes. Pensons notamment au docteur Francis Lefebure à qui il fit découvrir le phosphénisme. Au cours de cette première rencontre, Charles-Rafaël Payeur apprit des choses très importantes sur Max Heindel et son organisation. Il reçut également l’exercice de disciple qu’il espérait secrètement trouver auprès de cet interlocuteur privilégié, puisque le siège international de la Fraternité Rosicrucienne ne le transmettait plus depuis de nombreuses années. Afin de recevoir cet exercice, il avait déjà rencontré plusieurs vieux rosicruciens, tant en Californie qu’en Europe. Or c’est Armand Toussaint qui le lui transmit. Il lui apprit également à l’individualiser pour chaque personne, tout en l’invitant fortement à ne pas le faire !

 

 

Armand Toussaint (1895-1994),

à sa résidence de Bruxelles (avenue J.-B. Depaire)


Si cela fut un moment déterminant dans une démarche que Charles-Rafaël Payeur avait initiée près de dix ans auparavant, ce n’est certainement pas ce qui fut le plus important ce jour-là. En effet, Armand Toussaint avait fondé, en 1963, l’Église Rosicrucienne Apostolique, une branche belge de l’Église Gnostique Apostolique. Il était ensuite intervenu auprès de Roger Caro, l’Imperator des Frères Aînés de la Rose-Croix, à qui il avait transmis l’épiscopat, ayant reçu de lui une formation approfondie en alchimie. Après sa rencontre avec Armand Toussaint, qui devait durer une heure et qui se prolongea plus de sept heures, Charles-Rafaël Payeur savait qu’il serait prêtre dans l’Église gnostique que l’évêque de Bruxelles représentait. Dès l’automne de la même année, il reçut d’ailleurs rapidement, comme cela se fait trop souvent dans ces petites Églises marginales, les Ordres mineurs, le sous-diaconat, le diaconat et le presbytérat. Il reçut également une formation d’exorciste, une pratique spirituelle considérée comme fondamentale par son évêque. Puis, Armand Toussaint souhaita lui transmettre la plénitude du sacerdoce (l’épiscopat), afin qu’il puisse le représenter au Canada.

 

C’est donc ainsi que Charles-Rafaël Payeur fut consacré évêque, le 25 novembre 1985, dans la lignée syro-jacobite d’Antioche, après avoir hésité longuement, terrorisé par le poids que cette charge représentait et qu’il n’avait pas souhaitée. Lors de sa consécration, qu’il avait voulue discrète, sa mère qui ignorait tout de ce qui se passait à Bruxelles, ressentit très profondément, alors qu’elle assistait à la messe à plus de six mille kilomètres, que son fils vivait à cet instant même un événement majeur de sa vie. Dès son retour au Canada, il fonda le Collège Sacerdotal de la Rose-Croix, afin d’assumer le travail dont Armand Toussait l’avait investi. Il reçut également de son consécrateur, le jour de son sacre, les initiations martinistes dans l’Ordre Martiniste des Pauvres Chevaliers du Christ (lignée russe de Serge Marcotoune de Kiev). Armand Toussaint représentait ce courant initiatique depuis les années 1920. Or, déjà à la fin des années 1970, Charles-Rafaël Payeur avait fréquenté un Ordre martiniste qui lui avait permis de découvrir un univers rituel très important pour lui. Cette initiation était donc l’aboutissement d’un long cheminement.

 

À partir de ce moment, une amitié très profonde lia les deux hommes. Armand Toussaint alla même jusqu’à le nommer « Évêque-Cardinal » de son Église, afin qu’il puisse intervenir dans la nomination de son successeur. Même après que Charles-Rafaël Payeur se fût éloigné de la théosophie et du gnosticisme que défendait toujours son aîné, une véritable complicité perdura jusqu’en 1994, alors qu’Armand Toussaint, âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, nous quitta pour l’Orient Éternel. Fidèle à celui qui avait été à la fois son consécrateur et son initiateur, Charles-Rafaël Payeur demanda, en 2003, l’exhumation de son corps, inhumé dans le cimetière de Bruxelles (Belgique), et son transfert à Sherbrooke (Canada), dans son Église-Cathédrale Saint Jean l’Évangéliste. À l’ouverture du cercueil, on constata que le corps était parfaitement conservé. Il fut déposé sous le Maître-Autel, où il repose toujours dans l’espérance de la résurrection.

 

En ce qui concerne le martinisme, Charles-Rafaël Payeur fut également amené, quelques années plus tard, à rencontrer Robert Amadou qui le confirma dans sa démarche en lui transmettant, dans son appartement de la rue Morges, à Paris (France), le grade de S. I. I. L. (Supérieur Inconnu, Initiateur Libre). C’est d’ailleurs à cette même époque qu’il fonda l’Ordre Martiniste du Canada. Cette rencontre, et la transmission initiatique qu’il reçut ce jour-là, ont eu un impact majeur sur sa réflexion. En effet, il se souvient d’une discussion conséquente qu’il eut avec son initiateur, juste après la réception du grade de S. I. I. L.. Elle portait sur la question de la réincarnation. Encore hésitant face à l’idée d’abandonner cette doctrine, Charles-Rafaël Payeur avait formulé à Robert Amadou la question suivante : « Comment peut-on être martiniste sans croire en la réincarnation ? », ce à quoi son initiateur lui répondit immédiatement : « Comment peux-tu être chrétien en croyant à la réincarnation ? ». Les deux hommes demeurèrent amis et continuèrent de se rencontrer régulièrement à Paris, jusqu’au décès de Robert Amadou, survenu en 2006.

 

 

Robert Amadou (1924-2006)


Si Charles-Rafaël Payeur demeura sérieusement engagé dans le mouvement martiniste, et dans celui des « Élus Cohen », la charge ecclésiastique qu’il avait reçue d’Armand Toussaint connut assez rapidement de profondes mutations. En effet, il obtint très tôt l'autorisation de célébrer la messe de St Pie V, la messe tridentine, à la place de la messe gnostique, en usage dans l’Église pour laquelle il avait été consacré évêque. Or, cette célébration de la liturgie catholique traditionnelle eut sur lui un effet majeur en l’amenant à remettre en question les doctrines théosophiques et gnostiques qui avaient été pour lui, jusque-là, des réponses relativement satisfaisantes à ses questions. Peu de temps après sa consécration épiscopale au sein de l’Église Gnostique Apostolique, il sentit donc paradoxalement le besoin de se rapprocher davantage de la foi et de la tradition catholiques.

 

C’est à ce moment de profonde remise en question qu’il rencontra Allain Saint-Pierre. Ce dernier devint très tôt son premier et son principal collaborateur sur le plan religieux. En effet, il reçut la cléricature le 21 décembre 1986, devenant ainsi le premier clerc ordonné et formé par Charles-Rafaël Payeur. Peu sensible à la théosophie, ce nouveau clerc encouragea fortement son évêque à s’éloigner de cette doctrine et à se rapprocher du catholicisme. De plus en plus mal à l’aise au sein de son Église, Charles-Rafaël Payeur finit par fonder, avec l’autorisation de son consécrateur, et à la suggestion insistante de son nouveau clerc, la Fraternité Sacerdotale Saint Jean l'Évangéliste. C’est ainsi qu’il adopta définitivement la rituélie catholique romaine, antérieure au concile Vatican II. Tous ces changements firent en sorte qu’il ne retint des enseignements théosophiques et gnostiques que les éléments compatibles avec la foi chrétienne.

 

Soucieux dès lors de se rattacher à une Église catholique, mais non romaine, il se mit à la recherche d’un évêque susceptible de l'accompagner en ce sens. Le 30 août 1989, alors qu’il se trouvait à New York pour y rencontrer Mgr Bertil Persson, de l’Église Épiscopale Apostolique (The Apostolic Episcopal Church), ce dernier l’invita à une rencontre qu’il avait, le jour même, avec le Patriarche Dom Luis Fernando Castillo Mendez. Charles-Rafaël Payeur fut immédiatement touché par le charisme de cet homme, dont il découvrit également la grande rigueur et l’autorité.

 

 

Dom Luis Fernando Castillo Mendez, à gauche,

accompagné de Dom Josivaldo Perreira de Oliveira, à droite


À cette occasion, il discuta un bon moment avec le Secrétaire du Patriarche, Dom Josivaldo Perreira de Oliveira. Après le long échange de correspondance qui suivit, ce dernier présenta la candidature du jeune évêque canadien au Conseil Épiscopal de l’Église Catholique Apostolique du Brésil (Igreja Catolica Apostolica Brasileira). Après quelques hésitations, en raison de son jeune âge, le Conseil Épiscopal a procédé à son élection au titre de Primat du Canada. Dom Luis Fernando Castillo Mendez fut alors canoniquement autorisé à procéder à sa consécration épiscopale. En effet, l’Église Catholique Apostolique du Brésil, ne reconnaissant pas la validité du sacre épiscopal reçu par Charles-Rafaël Payeur en 1985, exigea qu’il soit de nouveau consacré, selon les prescriptions du Pontifical romain traditionnel, et en présence de trois évêques, comme le prévoit le dit Pontifical. Accompagné de deux évêques brésiliens, le Patriarche arriva donc au Canada, aux premiers jours de juillet 1990, afin de célébrer la consécration. Celle-ci eut lieu le 15 juillet, après que le Patriarche ait conféré de nouveau au candidat à l’épiscopat les ordinations diaconale et presbytérale, le 14 juillet. Charles-Rafaël Payeur devint ainsi évêque de la succession catholique romaine.

 

 

Consécration épiscopale de Charles-Rafaël Payeur

à sa cathédrale de Stoke (Canada), le 15 juillet 1990


Digne héritier de son consécrateur, et fidèle à l’esprit du fondateur de l’Église Catholique Apostolique du Brésil, Charles-Rafaël Payeur a poursuivi la réforme du catholicisme entreprise par Dom Carlos Duarte Costa, niant l'infaillibilité du pape et n’imposant pas l’obligation du célibat à ses prêtres, au même titre que le font les églises orthodoxes. Il s’attaqua en outre à des problématiques plus contemporaines, se prononçant notamment en faveur de la contraception, et autorisant, à partir de 1996, la célébration d’une bénédiction d’union pour les personnes divorcées ou de même sexe. Il a ainsi combattu le modèle « naturel » de la famille, si défendu par les papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Il continue du reste de le faire avec force, pour des raisons exégétiques, théologiques et pastorales. Comme il le répète si souvent, de manière un peu ironique, rien n’est plus éloigné d’un modèle conforme aux règles sociales ou aux lois naturelles que celui de la Sainte Famille…

 

Charles-Rafaël Payeur a également voulu apporter, au sein de l’Église, un éclairage symbolique sur le sens des écritures et des sacrements. Dans ce but, il a écrit de nombreux ouvrages dont : Aux Sources de l’Amour, préfacé par Dom Luis Fernando Castillo Mendez, où il présente le « Dieu des chrétiens » comme un pédagogue de l’amour ; Les 7 Miracles du Christ, préfacé par Jean-Yves Leloup, où il rejette la lecture classique des épisodes de l’Évangile de Jean qui relatent les miracles de Jésus, pour en décoder le sens profond et les associer aux sacrements, ou encore, Sodome et Gomorrhe ou le droit à la différence, préfacé par l’évêque anglican émérite de Glasgow, le Très Révérend Mgr Derek Rawcliff, dans lequel il apporte une réflexion chrétienne sur la reconnaissance du mariage entre personnes de même sexe.

 

Depuis la fin des années 1980, Charles-Rafaël Payeur conçoit et accompagne également de très nombreux voyages à caractère culturel. Les premiers furent mis en place en Égypte, où il se rendait pour ses recherches sur la mort et les rites funéraires. Il a ainsi guidé des groupes sur les principaux sites de l’Égypte pharaonique : la pyramide de Kéops, le temple d’Edfou, le temple de Denderah ou celui d’Abydos, des lieux auxquels il accédait toujours en dehors des heures d’ouverture aux touristes. Puis, la terre d’Israël et le mont Karkom furent l’objet de ses principaux voyages, toujours guidé par ses recherches personnelles. Le circuit des sept églises de l’Apocalypse, et celui des monastères syro-jacobites, tous deux en Turquie, lui ont également permis d’approfondir et de partager certaines facettes de la tradition chrétienne. Pensons enfin aux expéditions, hors circuit, qu’il a organisées aux USA, au Canada, au Mexique, au Guatemala, au Honduras ou au Vénézuéla, à la rencontre des civilisations amérindiennes passées et actuelles.

 

Outre ces longs voyages, toujours atypiques et profondément enrichissants, Charles-Rafaël Payeur propose des pèlerinages organisés sur les hauts-lieux sacrés de la chrétienté, dont les cathédrales de Chartres, de Paris, de Strasbourg, de Metz, d’Amiens, de Bourges ou de Reims, mais aussi au Puy en Velay, à Paray-le-Monial, à Vézelay, à Lourdes, au Mont St-Michel, à Assise, à Rome, à Prague, à Patmos ou à Mexico (Notre Dame de la Guadeloupe). Au cours de ces pèlerinages organisés depuis vingt ans, il a notamment décrypté, pour mieux éclairer ceux qu’il accompagnait, la symbolique des portails Ouest de nombreuses cathédrales. Il a aussi redécouvert les circuits initiatiques que ces édifices sacrés proposent aux pèlerins.

 

Depuis 1985, Charles-Rafaël Payeur continue également de présenter des cycles de conférences, en Europe et au Canada, et d’animer des formations portant sur de nombreux sujets qui ne sont pas forcément liés à la tradition chrétienne pour laquelle il n’a jamais fait de prosélytisme. Il offre ainsi, à travers ses conférences et ses ouvrages, un enseignement qui aborde les grandes questions existentielles que se posent beaucoup d’êtres humains. Il permet à chacun de remettre le sacré au cœur de son quotidien, apprenant d’abord à le percevoir, pour ensuite le traquer dans les plus petites choses de la vie. Pour les auditeurs éloignés de la tradition chrétienne, son enseignement permet d’entreprendre une démarche de développement personnel et d’éveil spirituel, sans que le parcours soit religieux ou confessionnel. Le travail s’articule toujours toutefois autour d’une expérience de l’amour (amour de soi-même, amour de l’autre et amour du Tout-Autre).

 

Dans cette perspective, Charles-Rafaël Payeur s’intéresse tout particulièrement à la tradition chrétienne, par « déformation professionnelle », affirme-t-il parfois avec humour. Il cherche ainsi à découvrir les dimensions les plus profondes et les plus sacrées de cette tradition multimillénaire dans laquelle s’enracinent la culture et les croyances les plus fondamentales de l’Occident. Il y a notamment découvert une véritable pédagogie de l’amour, ce qui, à ses yeux, est l’un des fondements de la pensée chrétienne. Il cherche aussi à mieux comprendre le sens des « Écritures » en proposant notamment une lecture différente des écrits bibliques ou des textes apocryphes. Mentionnons, à ce titre, une étude exhaustive, verset par verset, de l’Apocalypse de Jean, où il présente les bases d’un véritable travail alchimique.

 

Initié dès le début des années 1980 à la tradition kabbalistique, Charles-Rafaël Payeur s’est aussi beaucoup intéressé à l’alphabet hébreu et à son symbolisme extraordinaire. Après de nombreuses années d’études et de réflexion, il en est arrivé à définir les enjeux psycho-spirituels propres à chacune des vingt-deux lettres hébraïques, en correspondance étroite avec les lames du tarot, découvrant ainsi un véritable parcours initiatique balisé par cet alphabet sacré. C’est une contribution bien réelle que ce chercheur a apportée au monde de la kabbale et du tarot (dans sa dimension non divinatoire, évidemment). Il s’est aussi beaucoup intéressé à l’arbre des sephiroth et aux outils psycho-spirituels qu’il nous permet de découvrir, notamment dans l’apprentissage de l’amour.

 

Dès l’âge de quinze ans, il s’est également familiarisé avec l’astrologie traditionnelle qu’il pratique depuis. Il a ainsi découvert un univers symbolique d’une richesse incroyable : celui des signes zodiacaux et des planètes. Cela lui a permis de développer une nouvelle méthode de calcul des axes astrologiques et des maisons, plus conforme à la vision traditionnelle des astrologues, très différente de celle des astronomes. Son apport en ce domaine est important. Il a également développé une interprétation spirituelle tout à fait originale des enjeux zodiacaux. Au-delà d’une meilleure connaissance de soi, cette lecture spirituelle nous permet de mieux comprendre le sens des grandes fêtes religieuses, en particulier des fêtes juives balisant le cycle de l’année.

 

À une époque où le thème des anges était devenu un sujet de discussion dans un cercle beaucoup plus large que celui de l’ésotérisme ou du Nouvel Âge, il s’est aussi beaucoup intéressé à l’angéologie. Se conformant à la tradition kabbalistique, Charles-Rafaël Payeur a réalisé une étude d’envergure portant sur la nature véritable des soixante-douze anges, à partir des lettres formant leur nom hébreu. Il a aussi développé une méthode qui permet de « calculer » quatre anges gardiens qui accompagnent chaque personne sur le chemin de son accomplissement. Il s’est enfin intéressé aux sept archanges de la tradition chrétienne : Yehoudiel, Barachiel, Schaltiel, Raphaël, Gabriel, Ouriel et Mikaël, dont nous ne connaissons trop souvent que trois d’entre eux.

 

Le sujet de prédilection de Charles-Rafaël Payeur demeure toutefois la mort et les étapes de la vie post mortem. Ce thème l’a conduit en Égypte, en Grèce, en Inde et vers de nombreux territoires « primitifs », afin de mieux en approcher le mystère. Ayant fait des études approfondies en ce domaine, il a notamment découvert que la mort a toujours été au cœur de la démarche spirituelle ou initiatique des grandes sociétés traditionnelles et des grands mouvements religieux, qu’il s’agisse de l’hindouisme, du bouddhisme, du judaïsme ou du christianisme. Même les philosophes grecs avaient la conviction que philosopher, c’était apprendre à mourir. D’abord réincarnationiste, il finit par comprendre en quoi ce concept de la réincarnation, considéré comme un outil d’évolution par les fondateurs de la théosophie, est contraire au cheminement spirituel, quelle que soit la tradition. Sans nier l’existence de la roue des renaissances dont nous pouvons malheureusement être prisonniers, Charles-Rafaël Payeur propose de travailler à s’en libérer par la puissance de l’amour et du pardon qui remet en question la loi de causalité.

 

Dans cette perspective, il a toujours recherché intuitivement à associer « développement personnel » et « éveil spirituel ». En effet, la première étape de toute démarche initiatique demeure pour lui d’assumer le fameux « connais-toi toi-même » des Grecs, pour ensuite s’ouvrir à un espace plus vaste, celui « de l’univers et des dieux ». S’il puise d’abord dans les profondeurs de la tradition biblique les clefs utiles à ce travail, il s’intéresse également aux recherches plus « laïques » d’auteurs comme Stephen Covey, dans le domaine du management en entreprise, ou de certains psychologues contemporains. Il s’intéresse ainsi à tout ce qui peut ouvrir la conscience aux notions de bien-être, d’abondance, de plaisir et de bonheur, des réalités qui forment à son avis l’antichambre incontournable de toute expérience spirituelle.

 

Passionné de biologie depuis sa plus tendre enfance, Charles-Rafaël Payeur a enfin consacré de très nombreuses années à étudier le symbolisme du corps humain, afin d’y découvrir les clefs d’un développement intégral de la nature humaine. Ayant renoué avec une anthropologie ternaire, après s’être notamment initié aux travaux exceptionnels de l’anthropologue français Michel Fromaget, il a peu à peu découvert à quel point le corps humain est une « somatisation » des plans psychique et spirituel qui composent également l’être humain. Grâce à une exploration méthodique de l’anatomie et de la physiologie, il a établi des liens très étroits entre la forme générale d’un organe, ses caractéristiques macroscopiques et microscopiques, ses particularités physiologiques et les enjeux psychologiques et spirituels correspondants. C’est certainement l’une des contributions majeures de sa recherche personnelle au cours des vingt dernières années.

 

En 2008, avec la collaboration d’Allain Saint-Pierre, Charles-Rafaël Payeur a mis sur pied un vaste projet pour la Fraternité Sacerdotale Saint Jean l’Évangéliste qu’il dirige. Ce projet comporte un volet social, un volet culturel et un volet religieux. Pour se faire, cet Ordre religieux a fait l’achat d’une église anglicane patrimoniale, au centre-ville de Sherbrooke (Canada), dont le bâtiment annexe a été entièrement rénové pour accueillir des personnes seules et en difficulté (c’est le volet social). Le volet culturel est toujours en voie de concrétisation, mais le volet religieux est pleinement actif. Il est assuré dans l’église par la célébration des sacrements, selon le rite tridentin. Des cérémonies œcuméniques, avec des représentants des Premières Nations, y ont également lieu.

 

 

Cérémonie de purification à la sauge

dans l’Église-Cathédrale Saint Jean l’Évangéliste de Sherbrooke (Canada)


Enfin, des trentains grégoriens y sont très régulièrement célébrés et permettent d’accompagner les défunts, un travail essentiel que l’on retrouve dans toutes les grandes traditions spirituelles. Pensons notamment aux pratiques de l’Égypte pharaonique, ou à celles, toujours en vigueur, du bouddhisme tibétain.

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INITIATION CHEZ LES AMÉRINDIENS (184 pages)

par Charles-rafaël Payeur, préface de Max (One-Onti) Gros-Louis, grand chef de la Nation huronne-wendat


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Le présent volume nous propose de partager une réflexion originale issue d’une expérience d’initiation vécue dans une tente de sudation. Il est impossible d’avoir accès à une cérémonie amérindienne de ce genre sans y être invité par un passeur, et rares sont ceux et celles qui y sont conviés.

 

L’auteur nous y introduit avec doigté et érudition. À travers un jeûne de vingt-quatre heures et deux séries de quatre sudations, il nous révèle la signification symbolique de plusieurs réalités : le bâton de parole, le capteur de rêves, la loi d’unité... Je laisse au lecteur le plaisir de découvrir tous ces mystères.

 

Il est normalement interdit de révéler au grand public l’intimité d’une telle expérience. Charles-Rafaël Payeur a cru bon de transgresser cet interdit de bon aloi ; il portera dorénavant la responsabilité de ce qu’il révèle. Je crois cependant qu’il a agi par grandeur d’âme et par souci d’enseigner. La démarche est décrite étape par étape avec un grand respect. Il s’adresse à un public qui cherche la vérité des êtres et des choses.

 

Cet ouvrage est un merveilleux voyage au pays de ceux et celles qui veulent dépasser leur bien-être physique, émotionnel, intellectuel et spirituel ; il est un véhicule fascinant sur la route de l’harmonie de l’être.

 

Que Skasawati, le protecteur de notre Nation, accompagne l’auteur et ses lecteurs dans cette méditation vers la sagesse.

 

(Max (One-Onti) Gros-Louis, grand chef de la Nation huronne-wendat)

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AUX SOURCES DE L’AMOUR (394 pages)

par Charles-Rafaël Payeur, préface de Dom Luis Fernando Castillo Mendez


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En cette époque où tant de personnes s’interrogent sur le sens de la vie et recherchent parfois désespérément une réalité transcendant la banalité de leur existence ; en cette époque où l’amour n’a jamais été à ce point au centre des préoccupations humaines, Dom Charles-Rafaël Payeur vous propose de revisiter le concept de la Trinité qui nous révèle les grands mystères de cette expérience surnaturelle qu’est l’amour. Dieu est amour et cela est d’une importance capitale pour tous ceux qui souhaitent mieux appréhender cette réalité. Vous découvrirez dans cet ouvrage qu’Il est non seulement la Source de tout amour, mais qu’Il nous apprend également à le vivre à travers le modèle de sa propre existence.

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LES SEPT MIRACLES DU CHRIST (224 pages)

par Charles-rafaël Payeur, préface de Jean-Yves Leloup


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Dans cet ouvrage, Dom Charles-Rafaël Payeur vous propose de jeter un regard inédit sur le récit des sept miracles du Christ tels qu’ils nous sont relatés dans l'évangile selon saint Jean. Vous y découvrirez un véritable itinéraire psycho-spirituel enseigné par Jésus, chacun de ses miracles incarnant un aspect de la démarche initiatique propre au christianisme, une démarche proposée à chacun d’entre nous. Ces récits prendront, sous vos yeux, une dimension nouvelle et cesseront enfin d’être auréolés d’un halo de superstition les transformant en de simples événements spectaculaires appartenant au passé. En effet, il s’agit d'invitations à vivre des expériences psycho-spirituelles accessibles, sur un plan psychologique, par un travail sur soi, et sur un plan spirituel, par la rituélie sacramentelle. C’est du moins ce que l’auteur entend vous faire découvrir dans cette étude passionnante.

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SODOME ET GOMORRHE OU LE DROIT À LA DIFFÉRENCE (224 pages)

par Charles-rafaël Payeur, préface de Monseigneur Dereck Rawcliffe, Évêque émérite anglican de Glasgow


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Dans cet ouvrage, Dom Charles-Rafaël Payeur aborde la question des unions entre personnes de même sexe. Il s’agit d’un débat d’autant plus délicat qu’il est actuellement placé au cœur de choix de société fondamentaux. S’appuyant sur le message d’amour enseigné par le Christ, l’auteur ose proposer au « Saint Père » un nouvel éclairage sur le sujet, et il soumet ses propos à votre réflexion. Dans ce but, il vous invite à revisiter les principaux textes bibliques traitant de cette question, vous amenant à suivre un itinéraire qui s'adresse d’abord au cœur et qui mêle étonnement et stupeur. Il vous conduit enfin à découvrir peu à peu l’exigence essentielle de toute vie chrétienne, celle d’honorer l’amour quelle que soit la forme qu’il adopte et quoi qu’il puisse en coûter.

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Voici une étude pertinente sur le sujet :

 

TAROT ET PARCOURS INITIATIQUE (236 pages)

Par Charles-Rafaël Payeur

 

Chacune des lettres de l’alphabet hébreu correspond à l’un des vingt-deux arcanes majeurs du tarot. Oswald Wirth écrivait à ce propos : « Ce qui frappe avant tout dans le tarot, c’est le nombre 22, qui est précisément celui des lettres de l’alphabet hébraïque. On peut donc se demander si ce n’est pas à la tradition juive que nous devons nos vingt-deux figures kabbalistique. ». Certains auteurs affirment même que les dessins allégoriques du tarot auraient été créés par des kabbalistes médiévaux comme supports de réflexion métaphysique sur les vingt-deux lettres hébraïques. Dans cette perspective, Charles-Rafaël Payeur vous propose de redécouvrir les vingt-deux lames majeures du tarot en tant que véritables images sacrées permettant à celui qui les contemple de participer aux mystères qu’elles symbolisent, des mystères incarnés par les vingt-deux lettres hébraïques, les vingt-deux expressions du Verbe à l’origine du créé.

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Voici quelques enregistrements pertinents sur le sujet :

 

C-1617 L’ARBRE DES SEPHIROTH (PARTIE I)

 

Selon les kabbalistes, il existe dix principes à travers lesquels se déploie la lumière primordiale de l’infini lorsqu’elle descend dans le monde pour insuffler la vie à tous les plans de la création. Ces dix sephiroth constituent, dans leur ensemble, un enseignement complet permettant à l’homme de vivre selon les lois cosmiques, et d’expérimenter une véritable remontée vers les mondes de l’Esprit. Dans ce premier exposé, Charles-Rafaël Payeur vous propose d’explorer les premières sephiroth, en vous révélant leurs enjeux psychologiques et spirituels.

Durée approximative : 2h30

 

 

C-1632 L’ARBRE DES SEPHIROTH (PARTIE II)

 

Les dix sephiroth constituent résument et incarnent les fondements de l'ésotérisme juif, un ésotérisme qui peut également être abordé sous l'éclairage du christianisme. Dans ce second exposé, Charles-Rafaël Payeur poursuit son étude en explorant les sephiroth suivantes. Comme il l’a fait pour les trois premières, il met chacune d’entre elles en rapport avec un personnage important de l’histoire biblique, mais aussi avec l’un des commandements du décalogue. Cela permet de mieux intégrer encore les enjeux psycho-spirituels correspondants.

Durée approximative : 2h30

 

 

S-122 LES DIX SEPHIROTH ET L’ARBRE DE VIE

 

Dans la tradition de la kabbale, l’arbre de vie résume la structure même de la création et l’ensemble des principes sur lesquels le monde a été créé. Ils sont au nombre de dix, appelés sephiroth, et cette étude vous propose de les explorer en découvrant que chaque sephirah est associée à une grande loi spirituelle et à un personnage important de l’histoire biblique.

Durée approximative : 18 heures

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Comment découvrir son identité véritable par les grands axes astrologiques  (232 pages)

par Charles-rafaël Payeur


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Dans cet ouvrage exceptionnel, Charles-Rafaël Payeur vous propose une méthode, à la fois simple et efficace, pour identifier les principales illusions qui vous éloignent du bonheur, et le moyen par lequel vous pouvez, en fonction de votre propre situation, vous ouvrir à la vie spirituelle en intégrant les forces de l’amour. En effet, il vous expose la manière de passer du stade de l’homme égoïque, tout entier centré sur ses propres illusions et cultivant une fausse image de lui-même, à l’homme nouveau qui, ayant découvert sa véritable identité, l’exprime désormais pleinement, éclairant le monde de sa lumière intérieure. La méthode, nouvelle et inédite, est accessible à tous et permet d’analyser avec une grande simplicité les quatre points cardinaux de votre thème astrologique (l’Ascendant, le Milieu du Ciel, le Descendant et le Fond du Ciel). Sans avoir de connaissances approfondies en astrologie, vous pouvez ainsi démasquer les illusions qui risquent de vous entraîner vers un sentiment de vide intérieur, et découvrir la vraie nature dont vous êtes porteur au plus profond de votre coeur. Ce livre s’inscrit dans une perspective volontairement pratique et quatre exemples vous sont proposés pour vous familiariser davantage avec la méthode.

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Voici un enregistrement particulièrement intéressant à ce sujet :

 

S-152 ASTROLOGIE, MÉDITATION ET DÉVELOPPEMENT SPIRITUEL

 

Charles-Rafaël Payeur vous propose de découvrir non seulement les enjeux psychologiques incarnés par les douze signes du zodiaque, mais il vous en présente également les enjeux spirituels, vous révélant ainsi un véritable chemin initiatique. Vous découvrirez ainsi que les grandes fêtes religieuses de la tradition judéo-chrétienne correspondent en fait à des moments privilégiés de l'année permettant de s'harmoniser plus facilement à ces enjeux, tout en s'accordant à l'ordre universel. Puis, douze méditations, correspondant aux douze Pleines Lunes, vous seront proposées, afin de vous ouvrir aux forces vivificatrices de l'Esprit et de les incarner le plus fidèlement possible. C'est donc à un travail d'éveil et d'harmonisation en douze étapes auquel vous êtes conviés.

Durée approximative : 18 heures

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LES 4 VISAGES DE L'ANGE (368 pages)

par Charles-rafaël Payeur


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La tradition judéo-chrétienne nous apprend que chacun d’entre nous est relié, dès sa naissance, à un ange tutélaire, afin d’être guidé et soutenu tout au cours de sa vie. Pour lui permettre d'intervenir efficacement, nous devons cependant être ouverts à sa réalité. Dans cet ouvrage exceptionnel, Charles-Rafaël Payeur nous transmet l’essentiel de l’expérience qu’il a lui-même vécue et nous révèle comment l’ange tutélaire s'exprime plus particulièrement à travers quatre fonctions distinctes. Ce sont les quatre visages de l’ange : l'ange gardien, qui nous aide à découvrir et à assumer ce que nous sommes au plus profond de nous-mêmes, l’ange paranymphe, qui nous assiste dans notre relation à l'autre en vue de développer avec lui un échange amoureux, l’ange paraclet, qui nous invite à entrer en nous-mêmes pour y trouver la présence de l’Esprit, et l’ange de la vocation, qui nous enseigne la manière dont nous pouvons être plus efficacement au service des autres. À la lumière de la kabbale et de l'astrologie, l'auteur vous propose en outre une technique simple afin d’identifier ces quatre visages angéliques en fonction de votre situation personnelle. Ce livre s’inscrit dans une démarche essentiellement pratique. Trois exemples vous sont même proposés pour vous familiariser davantage avec la méthode.

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Voici une étude pertinente sur le sujet :

 

LES ARCHANGES : GUIDES ET GARDIENS SPIRITUELS (198 pages)

Par Charles-Rafaël Payeur

 

Les archanges sont avant tout des messagers célestes qui nous assistent et nous soutiennent sur le chemin de la lumière. Dans ce fascicule, l’auteur vous présente la manière de vous mettre en contact plus étroit avec sept d’entre eux, ceux qui permettent de franchir les grandes étapes de tout développement psychologique et de tout éveil spirituel. Ces archanges remplissent principalement trois fonctions majeures. En effet, ils sont d'abord des anges musiciens, qui nous enseignent à nous mettre à l'écoute des plans célestes, en entrant en résonance avec les sept voix divines. Ils sont ensuite des anges thuriféraires, qui nous assistent dans la transmission de la lumière, tout autour de nous. Ils sont enfin des anges guérisseurs, qui nous soutiennent dans un processus de réharmonisation de notre âme.

 

Ce fascicule est un véritable manuel d’initiation, avec des enseignements pratiques inédits quant à la manière de méditer afin d’entrer en contact plus étroit avec ces êtres de lumière, grâce à des images puissantes. Vous apprendrez ainsi à vous en approcher et à recevoir d’eux des objets symboliques qui vous aideront dans votre travail personnel de progression psycho-spirituelle. Une prière adressée à chacun des sept archanges vous est également proposée.

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Voici une étude spécialisée portant sur le sujet :

 

LA MORT: MIEUX LA COMPRENDRE (180 pages)

Par Charles-Rafael Payeur

 

Dans ce fascicule, l’auteur vous invite à mieux comprendre le sens de la mort, et vous enseigne la manière de vous y préparer en vous appuyant sur les connaissances ancestrales exposées par les grandes traditions spirituelles. Il vous propose également des outils concrets vous permettant d'apporter une aide véritable aux êtres chers qui, trop souvent laissés à eux-mêmes, traversent ce moment difficile. Certes, il n'est pas facile d'assurer un accompagnement efficace, et l'on se trouve parfois désarmé devant une telle expérience. Vous découvrirez dans ce document un enseignement concret, sur l'expérience de la mort et de la vie post-mortem, qui vous donnera la possibilité de mieux affronter cette situation en apportant un soutien appréciable.